L’Avenue, la Kasbah, un ciné-roman
La cinécriture entre réalité et fiction
DOI :
https://doi.org/10.26754/ojs_bunuel/bunuel.2025112173Mots-clés :
cinéma, roman, intermédiatique, réalité, fiction, mémoireRésumé
Dans une double visée, cinématographique et narrative, la trame événementielle du roman L’Avenue, la Kasbah, s’articule autour de faits réels axés principalement sur l’événement de la « révolution ». Sur fond d’une histoire fictive entre deux protagonistes, servant d’alibi pour raconter les épisodes de l’événement déclencheur d’un avant et après « images-temps », la narration mémorielle et testimoniale du récit se développe dans une optique intermédiatique. L’interférence de deux médiums, le ciné-visuel (littérarisé) et le romanesque, laisse libre cours à la corrélation d’un regard externe et d’une voix omnisciente, pris dans l’étau de la distanciation et de la proximité, pour rendre compte de données historiques et effectives narrativisées à travers une esthétique ciné-romanesque.
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