Les pays où l’on arrive toujours : territoires d’enfance et itinéraires rêvés
DOI :
https://doi.org/10.26754/ojs_ondina/ond.201823363Résumé
Le pays natal chez André Dhôtel comme chez Henri Bosco est un lieu vivant. La culture, les souvenirs, les sentiments ou les rêves que l’écrivain y projette en font un espace singulier. Lorsqu’ils sont racontés dans des ouvrages destinés à la jeunesse, ils font appel à une géographie et à une histoire imaginaires qui se superposent à la réalité spatio-temporelle. En puisant dans leurs souvenirs et dans leur imaginaire pour décrire à la fois l’itinéraire et la destination idéale vers laquelle, au fil des romans, on se met en route, André Dhôtel et Henri Bosco, respectivement dans Le Pays où l’on n’arrive jamais et dans L’Enfant et la rivière, présentent non plus seulement une quête de terroir mais un voyage vers un territoire qui sert davantage de cadre à une initiation qu’à un retour aux sources nostalgique.
Mots-clés: Voyage vers le pays natal / souvenirs et imagination / réalité spatiotemporelle / quête initiatique / destination idéale.
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